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mardi 25 octobre 2011, par
• J’apprends soigneusement mes leçons d’orthographe. Je mémorise en particulier les listes.
• Lorsque je lis, je suis attentif aux mots nouveaux.
• J’ai un petit dictionnaire que j’utilise fréquemment.
• Je recopie les mots difficiles sur un carnet de vocabulaire (alphabétique) avec leur sens. Le fait d’écrire est le meilleur moyen pour mémoriser.
• Pour incruster l’orthographe d’un mot dans ma mémoire :
— Je me dis qu’il faudra le réécrire bientôt sans modèle.
— Visuel : je « photographie » le mot et essaie de le revoir dans ma tête.
— Auditif : je l’épelle à haute voix. J’ajoute une petite phrase, comme : « Je m’aperçois qu’apercevoir ne prend qu’un p. »
— Kinesthésique : je le réécris plusieurs fois. J’entoure les consonnes doubles.
• Je relie le mot à sa racine. Ex. : « hippo », avec un i et deux p, signifie « cheval » ; « hypo », avec y et un p, veut dire « sous ».
• Dans le doute, j’écris au brouillon avec plusieurs variantes. L’œil peut se souvenir de ce qui convient le mieux.
• Sur mes dictées rendues, je corrige les fautes soigneusement, je réécris les mots fautifs 5 fois.
• J’utilise un Bescherelle pour conjuguer.
• Je me fais des tableaux résumés de conjugaison. Je les affiche dans ma chambre.
• Je commence par les présents de l’indicatif ; puis les futurs simples irréguliers, les passés simples et les présents du subjonctif.
• J’apprends mes leçons de grammaire.
• Je fais des fiches sur les accords : les pluriels difficiles, les mots composés, les accords des participes, avec des exemples faciles à mémoriser.
• Je fais soigneusement les exercices.
• Je note les corrections d’exercices avec un stylo vert.
• En dictée, je remplace les verbes en [é] par « prendre », pour « entendre » l’accord.
— Je pose la question « qui est-ce qui ? » pour trouver le sujet.
— Je fais des flèches sujet-verbe.
• Je fais des fiches sur les confusions les plus courantes (ces/ses/c’est – a/à – se/ce).
• Pour chacune d’entre elles, je retiens un petit procédé, un « truc » pour la mémoire.
• Je lis chaque jour une demi-heure à voix haute, en m’efforçant de bien comprendre.
• Je fais chaque jour une dictée brève (deux phrases, trois lignes).
— Je la tire des exercices de mon livre.
— Elle me permet d’apprendre à me relire, plus à fond que lors d’une dictée en classe, où tout peut être trop rapide pour moi.
— Dans une bonne dictée brève, il y a un accord de verbes en [é] et deux mots rares.
— Avant d’écrire, j’épelle le mot à mi-voix.
— Je la corrige tout de suite.
• Je refais à la maison mes dictées rendues, pour arriver à les faire sans faute.
— Je me corrige avec le barème du professeur : 2 points pour un accord ou une faute de grammaire, 1 point pour une faute d’usage, ½ point pour un accent.
— Je cherche la règle de chaque accord, et/ou je fais des flèches pour les accords.
— Pour une faute de conjugaison, je conjugue le verbe en entier au temps indiqué.
• Je relis les autres devoirs où les fautes sont soulignées, et je les corrige.
• Dans tous mes cahiers et tous mes écrits, je m’efforce de ne faire aucune faute, pour éviter de me déformer l’esprit.
• Je relis systématiquement tout travail écrit, et plusieurs fois s’il est long.