Je jette avec grâce mon feutre, Je fais lentement l’abandon Du grand manteau qui me calfeutre, Et je tire mon espadon ; Élégant comme Céladon, Agile comme Scaramouche, Je vous préviens, cher Myrmidon, Qu’à la fin de l’envoi je touche ! Vous auriez bien dû rester neutre ; Où vais-je vous larder, dindon ?... Dans le flanc, sous votre maheutre ?... Au cœur, sous votre bleu cordon ?... - Les coquilles tintent, ding-don ! Ma pointe voltige : une mouche ! Décidément… c’est au bedon, Qu’à la fin de l’envoi je (...)